Un cadeau d'anniversaire inhabituel 3

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il y a 13 ans

Même si je m'occupe bien d'elle avec ma bouche, mes doigts et le gode, elle me dit que ma bite commence à lui manquer. Le problème, c'est que plus je suis en cage plus je suis excité. Et plus je suis excité, plus il m'est difficile de me retenir assez longtemps pour la satisfaire. Depuis quelques temps, je suis libéré qu'une fois par semaine pour qu'elle puisse jouir de la sensation de ma queue au fond d'elle mais je ne tiens pas longtemps.

J'ai porté la cage pendant plus d'une semaine. La dernière fois qu'elle m'a libéré et m'a laissé la pénétrer c'était merveilleux.

La prenant sur le côté, je la pénètre profondément puis je la baisé sauvagement. C'est si bon que je remarque à peine lorsqu'elle jouit. Après elle décide de s'asseoir sur mon sexe. Elle ne perd pas de temps à prendre un rythme endiablé. Je fais tout fait pour essayer de me retenir, mais de la regarder venir si fortement sur moi, ma libido surchargée depuis plus d'une semaine du désir et de frustration se libère soudainement. Je cris et gémis de bonheur. Quand je réussi a reprendre mon souffle, je lui dis.

  • C'est le meilleur rapport sexuel que nous avons eu depuis longtemps.

Elle hoche la tête, en passant un gant de toilette sur ma bite puis me dit

  • Pour moi, c'est évident. Te faire attendre quelques jours est tellement mieux.

Elle remet la cage sur ma bite et ajoute.

  • Dépêchez-toi de remettre ceci, je veux dormir.

Je commence à me plaindre, alors elle m'arrête.

  • Est ce que je dois te rappeler que c'est ton cadeau d'anniversaire?

  • Euh, oui peut être mais je pensais que c'était juste pour quelques jours, ou au plus une semaine.

  • Oh, arrête de te plaindre, tu ne vas pas recommencer. C'est seulement pour quelques jours, peut être neuf ou dix si tu continus ? Quelques jours supplémentaires devraient être une bonne chose pour toi, non? En outre, c'est bon pour moi et c'est moi qui décide.

  • Bien sûr que c'est bon pour toi, je m'occupe de toi tous les deux ou trois jours depuis mon anniversaire.

  • Humm, c'est vrai. D'ailleurs, t'aime bien ça, n'est-ce pas?

Je dois admettre que j'aime m'occuper d'elle. Elle se blottit dans mes bras, et bientôt nous nous endormons, fatigués et repu.

3ème semaine:

Aujourd'hui c'est son jour de congé, alors je m'arrange pour rester un peu avec elle. Au lieu de me remettre la clé, elle m'excite en me demandant de la lécher et de la caresser jusqu'à ce qu'elle jouisse à plusieurs reprises. Naturellement, ma queue est si enflée qu'il m'est impossible de l'enlever. Je doit mettre un gant de toilette d'eau froide dessus pour me faire dégonfler le sexe. Elle ouvre la serrure et m'aide à enlever la cage. Elle a hâte de me sentir en elle.

Il faut que je vous explique que depuis que je suis propriétaire d'un atelier d'usinage, la cage que j'ai fabriqué est une version un peu modifiée par rapport à celle que vous pouvez acheter dans les magasins de "jouet pour adultes". Bien évidement elle est plus sûre que les modèles en plastique que l'on trouve sur le marché.

Il a un anneau en acier inoxydable à charnière qui entoure ma queue et mes boules. Le tube de la cage a des aérations sur les cotés et le bout est ouvert. Je sais que le métal c'est plus sur. Je pense qu'après un certain temps mes couilles s'étendront suffisamment pour que je me sente un peu plus à l'aise, mais ce n'est pas encore arrivé. La cage est elle-même tenue par deux fines tiges en acier inoxydable fixé sur l'anneau.

Une fois au repos, mon gland atteint le bout de la cage, et mon sexe est de la largeur du tube. Cela signifie que dès que je m'excite, ma bite se gonfle au point que je suis très vite mal à l'aise. La courbure du tube empêche le gland de grossir complètement. Le problème est que quand je suis éveillé, le sentiment de confinement devient encore plus troublant, et cela m'excite, c'est un cercle vicieux. Vous pourriez penser que puisque je l'ai construit moi-même, j'aurai du être plus attentif sur le confort, mais lorsque j'ai fait des essais, la porter quelques heures n'était rien par rapport à ce que je vis depuis quelques semaines. Je n'imaginais pas faire un essai comme celui que je vie en ce moment.

Un autre avantage pour ma femme, c'est que lorsque j'ai passé plusieurs jours dans la cage, il me semble que ma bite est plus large que d'habitude. Je suppose que c'est pour cette raison qu'elle aime de temps en temps que je la pénètre après avoir été équipé. Si d'habitude après une longue période de chasteté je jouis trop facilement, je ne sais pas pourquoi parfois c'est le contraire. Je pourrais tenir des heures. Dans ces moments là, je frotte d'abord mon gland contre son sexe, puis sur son clitoris. J'aime entendre son souffle varier en fonction de son plaisir. Souvent en moins d'une minute, il lui arrive d'avoir un orgasme.

J'aime la pénétrer progressivement un peu plus à chaque fois. Lentement je glisse en profondeur et ressort au bord de ses lèvres. J'aime la baiser de cette façon et si elle jouit comme ça, c'est encore mieux. Nos corps coller l'un à l'autre, elle peut parfois avoir quatre ou cinq fois du plaisir. Mon gland, gonflé d'envie j'accélère le rythme. Elle mord mon épaule puis je l'entends gémir de plaisir lorsqu'une fois encore elle jouis.

Voyant qu'elle est encore excitée, je la retourne sur le côté. Elle aime que je la remplisse de cette manière. Elle est si humide que lorsque je me glisse en elle et que je pousse mon bas ventre contre elle, ses yeux s'ouvrent de surprise. Je joue avec son corps et lui demande.

  • C'est trop fort? Tu veux que je m'arrête?

Elle secoue la tête, à peine capable de parler.

  • Uhmm, non continu, c'est trop bon.

J'aime la regarder dans cette état là, alors je continu à la baiser de cette manière pendant quelques minutes de plus. Mes couilles sont enflées et douloureuses. Comme elles frottent sur sa cuisse, je suis de plus en plus excité. De nouveau je pousse profondément mon sexe en elle. Depuis quelque temps elle exige de moi que je lui demande la permission, ce que je fais fébrilement.

  • Ma chérie, est ce que je peux jouir? Je suis au bord.

Elle hoche la tête et me donne la permission de me libérer.

  • Viens au fond de moi, laisse toi faire.

En retour elle pousse ses hanches contre les miennes. Je ferme les yeux un instant. Rapidement, je plonge en elle, je sens mes couilles frottées contre sa cuisse. Soudain, je sent mon sperme coulé avant même d'avoir mon plaisir. Vague après vague ma queue expulse sa semence. Faiblement je me penche sur elle pour l'embrasser, puis sans me retirer de son sexe, nous nous installons dans la position des cuillères. Son bras caressant doucement ma jambe lorsqu'elle me dit.

  • C'est bon?
  • Mmmm oui, c'est parce que tu m'as autorisée à jouir au fond de toi.

Je me colle à elle, en appréciant son dos contre ma poitrine et son cul chaud contre mon ventre. Puis je reprends.

  • Quand je suis enfermé, je ne peux pas bander complètement, de sorte que tous mon plaisir est stoppé. Je ne comprends pas pourquoi tu ne veux pas le faire plus souvent?

Elle me repousse gentiment.

  • Parce que ce ne serait pas pareil pour toi. J'essaie juste de te donner ce que m'a demandé.

Elle se retourne vers moi et me donne un long baiser.

  • Finalement c'est mieux pour toi d'attendre plusieurs jours?

Je ne peux pas le nié. Nous restons enlacés l'un contre l'autre encore pendant quelques minutes avant que j'aille travailler. Elle me regarde enfiler ma cage de chasteté puis ferme le verrou elle même pour le reste de la semaine. Je m'habille et la laisse se rendormir.

5ème semaine: Je vous jure qu'a la moindre occasion elle recommence a me toucher, me taquiner, même si comme souvent, elle ne me demande pas directement que je m'occupe d'elle. La première semaine nous avons eu des relations sexuelles presque tous les jours. La deuxième semaine ressemblait plus à ce que nous vivions avant, mais le temps chaud de ce début de printemps lui a permis de dormir seulement vêtu d'une chemise de nuit. Pour mon plaisir je pense, elle l'a choisie transparente. La sensation de sa peau si près de moi a relancée mon excitation. De nouveau ma bite se réveille tous les matins.

Enfin après plus d'une semaine, elle me surprend en me donnant la clé de la cage pour que je puisse prendre une douche et venir la rejoindre dans le lit. Je me précipite dans la salle de bain ou je prend mon temps pour me laver car j'essaie de faire redescendre mon excitation. Quand je la rejoins au lit, elle est complètement nue. Pour une fois elle ne veux pas que je perde mon temps a lui sucé le sexe. Vite, elle me pousse sur le dos et engloutie ma bite déjà raide de sa bouche chaude. Le choc me fait presque sauter du lit. Moins d'une minute plus tard, je la supplie d'arrêter parce que je suis au bord de la jouissance. Profitant de l'occasion, elle se met sur le dos et m'attire sur elle. Nous nous embrassons, nos sexes se touchent. J'essaie de résister à l'envie de me frotter contre elle afin de ne pas jouir trop vite.

Quand je pense être calmé, je pousse mon sexe vers sa chatte. Elle est déjà toute mouillée et je glisse facilement en elle. Elle se mord les lèvres et m'attire encore plus. Mon sexe gonflé par plusieurs jours de cage, elle m'enlace si fort que je sais que je ne durerais pas longtemps. Lentement j'essaie de ralentir le rythme mais elle se jette sur ma bite gonflée. Chaque fois qu'elle vient à ma rencontre, j'essaie de me retenir de jouir.

Elle veut se retourner pour pouvoir me chevaucher. Normalement, j'aime cette position, mais là j'ai peur d'éjaculer trop vite. Je veux que cela dure plus longtemps pour pouvoir en profiter. Elle ne veux plus attendre et me pousse en arrière et reprend un rythme plus soutenu. Je la vois profiter de la sensation de ma queue gonflée en elle. Malheureusement, la regardant s'exciter sur moi, quelques instants après je me vide dans sa chatte en criant de plaisir. Je la sens un peu énervée, presque déçu.

  • Tu es censé attendre que je soit prête à jouir.

  • Mais c'est si bon, et puis j'étais tellement excité depuis le temps...

Elle se remet sur le coté et murmure.

  • Dommage que tu ne m'as pas attendu. Je suis heureuse que tu aies pris ton plaisir mais la prochaine fois avant de te libérer je ferais plus attention.

Malgré tout elle ne semble pas trop frustrée car quelques minutes après elle dort. Mon désir un peu calmé, je me colle contre son dos et je m'endors en repensant à ses menaces.

Au matin je me réveille tôt avec une érection dure comme de la pierre. C'est la première fois depuis des semaines que je peux avoir une érection matinale complète. Je réalise qu'elle a oubliée de me remettre la cage hier au soir avant de s'endormir. Je la caresse, appréciant sa chaleur autant que le sentiment de pouvoir bandé sans entrave. Bientôt, je lui écarte les jambes et doucement je peux de nouveau entrer en elle. Elle se réveille à peine, mais certainement assez pour profiter de ma belle érection. Bientôt ses mains se serres autour de ma taille. J'écoute ses doux gémissements, les yeux fermés à cause du plaisir. Elle jouis tout doucement pendant que je continu a bouger en elle. Je m'arrête pendant un moment pour qu'elle reprenne son souffle.

Je vois que maintenant elle est parfaitement réveillée, je lui demande si elle veut se mettre sur le côté. Elle hoche la tête et lève ses jambes pour me permettre de la pénétrer. Il s'agit d'une de ses positions favorites, et je ne tarde pas l'entendre grogner de plaisir. Je suis moins sauvage que la nuit dernière, il me suffit de bouger doucement en elle. Elle me serre la main, les yeux fermés puis jouis une fois de plus. Enfin calmée, elle pousse un profond soupir et je ressors doucement.

Maintenant, elle me pousse sur le dos et se met a cheval sur moi. C'est une position plus excitante pour moi mais comme j'ai déjà jouis la nuit dernière, je sais que je suis capable de tenir plus longtemps. Elle ferme les yeux lorsqu'elle introduit mon sexe en elle. Elle pose ses mains sur mes épaules et ses anches vont et viennent sur moi. Pendant une longue minute, elle me chevauche frénétiquement en me griffant la poitrine avec ses ongles. Elle s'appuie sur moi et relève ses jambes pour approfondir sa poussée. Elle est très excitée, quelques instants plus tard je sent ma bite avoir des soubresauts et mon sperme jaillir au fond d'elle. Elle s'écroule sur ma poitrine, je l'embrasse dans le cou. Lentement, elle se redresse. Mon sexe ramolli, il est lentement expulsé d'elle. Elle déplace sa main en arrière et agrippe mes couilles gonflées. Elle me dit en étouffant un rire.

  • Ce n'est pas bien ce que tu as fait, je ne pense pas t'avoir donner la permission de jouir en moi.

  • Quoi tu n'as pas aimée mon petit câlin du matin? D'ailleurs, je crois que ton sexe lui a bien aimé, non.

  • Non, c'était bien, mais ce que je veux dire c'est que je ne t'ai pas donné pas la permission de te vider en moi. Heureusement que je doit prendre une douche, de se fait ta punition ne sera pas trop dure, du moins pour le moment.

  • La punition, quelle punition? Je pensais que c'était bon pour toi et moi ce matin?

  • Oui c'était bon, surtout par rapport à hier au soir. La prochaine fois, tu ferais mieux de te retenir jusqu'à ce que je te donne la permission.

Après m'avoir menacé, elle sort du lit pour prendre sa douche. Remarquant la cage sur le lit, elle me la tend.

  • On dirait que j'ai oublié quelque chose la nuit dernière, je vais devoir m'en souvenir la prochaine fois.

En souriant, elle me regarde mettre ma bite dans la cage métallique et ajuster l'anneau en acier autour de mes couilles. J'installe le dispositif de fermeture, mais c'est elle qui me le verrouille.

  • Je tiens à m'assurer que c'est bien fermé.

Dit-elle, en me donnant un petit baiser. Puis elle part à la douche. Je m'habille et me prépare pour aller au travail.

7ème semaine:

Depuis quelques jours, ma vie sexuelle est plus tôt calme. Par contre pour ma femme tous les deux ou trois jours, je lui fais un massage des pieds ou du dos avant qu'elle parte se coucher. Immédiatement après, elle se retourne pour dormir me laissant frustré de désir pour elle. Environ une a deux fois dans la semaine, elle me demande de la lécher ou de lui caresser le sexe, ce qui me rend encore plus frustrer. Parfois, le matin lorsqu'elle se réveille avant moi, elle me demande que je lui caresse sa chatte déjà humide avec mes doigts, jusqu'à ce qu'elle ait un orgasme.

Pour moi, c'est autre chose, je vais vous expliquer les différentes méthodes que ma femme utilise pour me laisser frustrer.

Souvent elle se contente d'une caresse rapide sur ma queue gonflée à travers la cage, puis elle se rendort pour une heure ou deux pendant que je me prépare pour aller au travail.

D'autres fois, elle prend une douche rapide juste avant d'aller se coucher, c'est un signal pour me faire comprendre que je vais devoir la sucer avant qu'elle ne s'endorme. Cela peux durée cinq minutes ou plus d'une heure en fonction de ce qu'elle désire.

Une fois, elle a chevauchée mon visage pour frotter sa chatte sur ma bouche. Elle se collait à moi si fort que je ne pouvais presque plus respirer. Pendant tout le temps où je devais lui manger le sexe, elle me serrait les testicules, déjà douloureuses et enflées.

Parfois elle caresse avec de bout de sa langue ma queue a travers les barres de la cage mais ceux ci sont trop rapprochés pour que je ressente quelque chose. Ces séances se terminent toujours par un profond sommeil pour elle et un mal aux couilles pour moi pendant plus d'une heure.

Au cours de la semaine, je me contente de ses douces étreintes et de ses caresses furtives. Juste une impression rapide de plaisir, mais jamais assez pour me calmer. Ironiquement, moins j'ai de sexe, plus je suis fou d'elle. Ma femme le sait très bien. L'augmentation de contact sexuel avec elle augmente d'autant plus ma tension sexuelle. Elle est constamment dans mon esprit. Parfois, la nuit, elle ôte sa chemise de nuit, et je me réveille couché à côté contre sa peau lisse. Il semble que tout ce qu'elle fait est destiné à ce que je la désire encore plus.

9ème semaine:

Depuis la première semaine, je remarque que malgré les apparences, nous avons moins de relations sexuelles qu'auparavant. Pour moi c'est une certitude, comme je suis constamment sous tension sexuelle pour ainsi dire, ma période d'une semaine me parait dix fois plus. Ma femme ne semble jamais vouloir me débloquer plus d'une fois par semaine. Bien sûr au début, elle me faisait sortir de la cage tous les deux ou trois jours, mais depuis elle apprécie très bien la situation et elle me garde enfermé sur une longue période.

Au fur et à mesure des semaines, ma chasteté forcée me parait de plus en plus difficile à supporter. Cela ne semble pas gêner ma femme qui ne veut plus entendre parler de période de liberté. Plusieurs fois, délicatement je lui ai suggéré qu'elle me retire la cage pour que nous puissions faire une pause. Elle me dit qu'elle préfère me garder sous contrôle afin que je ne puisse pas me caresser ou me soulager de temps en temps. Elle aime quand je m'intéresse exclusivement a elle.

Elle a remarquée qu'a chaque fois que je suis à nouveau verrouillé après un rapport sexuel, je suis moins 'amoureux'. Alors elle laisse lentement s'installer la tension sexuelle au fur et à mesure que les jours passent.

L'encagement de plus d'une semaine, me rend trop exciter pour en profiter, c'est pour cela que je souhaite raccourcir un peu la période. Malheureusement, pour ma femme il n'en est pas question. Elle rejette systématiquement cette idée en me rappelant que la cage de chasteté c'était mon idée et que ce n'est pas de sa faute si elle a fini par avoir plus de satisfaction que moi. J'essaie souvent de la raisonner en lui suggérant de me libérer plus fréquemment. Je lui dit que si c'est mieux pour moi, se serait mieux pour elle, puisque je ne serais pas si fou de désir et que je pourrais durer beaucoup plus longtemps lorsque je lui fais l'amour. Comme à chaque fois, après quelques minutes, elle hausse les épaules et me dit que cela lui convient et que je dois arrêter de l'embêter avec ça.

Une semaine est déjà passée depuis ma dernière libération. Aujourd'hui c'est son jour de congé, nous devions faire l'amour, mais ce matin je ne peux pas rester à la maison. Nous sommes tous les deux déçus, mais elle ne me dit rien. Le soir, dans le lit, elle m'embrasse et pousse ma tête vers son sexe. D'autorité elle m'ordonne.

  • Suce moi, j'ai attendu toute la journée pour ça.

Elle croise ses jambes sur mes épaules et remonte son bassin. Je lui tiens les hanches et avec ma langue j'effleure légèrement ses lèvres et son clitoris. Au bout de quelques minutes, lorsqu'elle jouis elle soulève ses hanches un peu plus haut. J'arrête de la lécher afin qu'elle puisse reprendre son souffle. Elle me demande brutalement.

  • Mmm, tu es prêt à me faire l'amour maintenant?
  • Bien sûr, moi aussi j'ai attendu toute la journée pour ça, tu sais.

Je me retourne pour lui permettre de me libérer.

  • Où est la clef?
  • Ah non, t'a eu ta chance, ce matin. Ce que je veux maintenant c'est juste que tu me baise avec le gode et que tu me manges en même temps.
  • Mais... mais...ce n'est pas ma faute, je devais allez au travail!

Elle hausse les épaules et prend le gode dans le tiroir de la commode. Elle agit comme si elle ne m'a pas entendu, elle me tend simplement l'objet et pousse ma tête vers son sexe.

  • Tu es censé être prêt quand je le veux. C'est un des avantages de notre contrat, n'est-ce pas?

Je gémis de frustration et commence à la lécher légèrement.

  • Ne t'inquiète pas, me dit-elle, je te donnerais ce que tu veux un peu plus tard.

Je lui demande avec espoir.

  • Eh? Plus tard, c'est ce soir non?

  • Humm, non pas ce soir, lorsque je dis plus tard, c'est lors de mon prochain jour de congé.

Seules ses jambes autour de mes épaules m'empêchent de sursauter.

  • Quoi?! Mais c'est la semaine prochaine! Ce n'est pas juste!

Sans faire attention à ce que je dis, elle appuie sur ma tête pour me guider a nouveau vers son sexe.

  • Je sais, ce n'est pas juste, j'aurais préférée avoir ta bite au fond de moi ce matin, mais je vais devoir faire avec.

Elle se raidit sous ma langue lorsque je commence à la baiser avec le gode.

  • Oh, oui comme ça .... Mmmmm.

De toute évidence, elle est en dehors de toute compréhension, alors je continue à m'occuper d'elle de cette façon jusqu'à ce qu'elle jouisse à plusieurs fois. Repoussant ma tête, elle s'installe sur le coté avec un soupir.

  • Dépêchez-toi de t'essuyer la figure et viens me prendre dans tes bras, j'ai sommeil maintenant.

Complètement inconsciente à mes douleurs et à ma queue gonflée, elle s'endort dans mes bras. Je passe la nuit en silence à gémir de frustration. Le lendemain matin, je me plains à nouveau.

  • Je trouve que c'est injuste de me faire attendre une semaine de plus pour jouir, surtout que tu as obtenu ce que tu voulais hier au soir.

  • C'est injuste pour moi aussi, j'aime toujours ta bite, mais comme le soir je suis fatiguée, je ne me sens pas le courage de prendre la peine de te libérer, de faire l'amour dans toutes les positions, d'être obligé de procéder à un nettoyage de mon sexe après, et pour finir de t'enfermer à nouveau. En fait, puisque c'est de ta faute si je dois faire sans ta bite, il était juste aussi que je tu fasses sans son sexe.

11ème semaine:

Pendant toute la semaine, elle fait en sorte que je m'occupe d'elle chaque nuit. Je suis sûr que c'est sa façon de me rappeler qu'elle peut se passer de mon sexe, et je me garde bien de lui rappeler qu'elle semble prendre beaucoup plus de plaisir 'a faire sans'. Je suis persuadé qu'elle en profiterait pour me rappeler que cette situation dans l'ensemble, c'était mon idée au début, et le moins que je puisse faire c'est d'accepter mon cadeau d'anniversaire pour son plaisir.

Depuis, chaque jour, elle me force à lui faire des massages ou quelques séances de plaisir avec ma langue.

Enfin, la semaine est passée et son jour de congé arrive. Après plus de deux semaines sans jouir, je suis comme un fou. Nous prenons notre douche ensemble. Je suis heureux de savonner son dos et de frotter ma poitrine velue contre elle. Une fois lavée elle est prête à sortir et je trouve une excuse pour rester un peu plus longtemps sous la douche. En réalité, j'ai peur de jouir trop vite et je veux trouver le moyen de me calmer. C'est a ce moment que je prend conscience qu'elle ne m'a pas donnée la clé pour prendre ma douche.

Je règle la température de l'eau un peu plus froide, ce qui permet d'alléger la douleur que j'ai dans les couilles. Un fois calmé, je la rejoins dans la chambre. À ma grande surprise, elle est allongée sur le lit, les yeux fermés, avec un large sourire. Un coup d'œil entre ses cuisses me permet de voir qu'elle se donne du plaisir toute seule avec le gode.

Je regarde sa main déplacer l'objet, le faire entrer puis sortir de son sexe. C'est comme si elle ne savait pas que je la regarde. Après plusieurs semaines d'abstinence, j'ai un sentiment de jalousie vis à vis de ce gode en caoutchouc qui lui procure du plaisir. Malgré moi je continu à la regarder venir lentement vers l'orgasme. Elle ouvre les yeux. Elle ne semble pas surprise de me voir là. Je rentre dans le lit pour me placer contre elle. Sentant ce que je vais lui demander, elle met un doigt sur mes lèvres. Je roule sur elle en embrassant avidement sa bouche. Mes mains cherchent à la toucher partout. Je lui caresse la chatte avec mes doigts, la sentant glissante et chaude. Comme d'habitude, elle pousse ma tête vers son sexe en me tendant le gode.

Maintenant j'ai l'habitude de la satisfaire comme cela et je me mets à la pénétrer et à la lécher en même temps. Elle est très excitée et se met à gémir bruyamment. Ses mains agrippe mes cheveux et plaque fortement ma bouche contre son sexe. Je dois tirer ma tête en arrière pour reprendre mon souffle. Quelques instants plus tard, elle sert ses jambes autour de ma tête et aussitôt connaît un second orgasme. Je continue à la lécher jusqu'à ce que je sente ses spasmes se calmer. Près d'une minute plus tard, elle retombe sur le matelas, apparemment apaisé. Je lui demande.

  • Comment c'était?

Après quelques secondes de silence, elle secoue la tête.

  • Mmm, je ne sais pas, c'était très fort. Je pense que j'étais trop excité pour pouvoir me retenir.

Elle se penche pour me toucher. Je sursaute.

  • Je pense avoir une petite idée de ce que tu veux maintenant.

  • J'espère que tu a retenu la leçon de la dernière fois. Tu te retiens de jouir jusqu'à ce que je te le dise. Attention je ne veux pas que tu me déçoives.

Je secoue la tête, mais avant que je lui dise que je suis toujours enfermé, elle m'attire sur elle.

  • Allez, viens maintenant, j'ai envie de te sentir en moi.

Le souvenir de la dernière fois ou nous avons fait l'amour comme ça, me fait reculer en arrière.

  • Non, je ne veux pas venir comme ça, s'il te plaît, déverrouille moi! S'il te plaît.

Elle a un petit rire.

  • Je veux juste m'assurer que tu as bien compris la leçon. Après tout, c'est de ta faute si je n'ai pas pu avoir ta belle queue en moi depuis la semaine dernière. Tu ne pensais pas que tu allais t'en tirer comme cela?

Je me plains.

  • Mais ce n'est pas bon de cette façon.
  • C'est bon pour moi. Et puis, c'est tout ce que tu aura cette fois ci. Maintenant, décide toi, tu viens ou pas?

Je ne suis plus sur de ce que je veux. Je pousse doucement le tube de ma cage en elle. Malgré tout, j'apprécie le contact de sa chatte chaude et serrée sur le bout de ma bite qui gonfle hors de la cage. A son contact, je deviens vraiment fou. Je veux jouir à tous prix, car ça fait plus de deux semaines que j'attends ça. Pourtant j'essaie de faire durer ce moment le plus longtemps possible, car il faudra sans doute que j'attende une autre semaine avant que cela se reproduise. Quelque instant plus tard je réalise que je ne pourrais pas avoir un orgasme réel si je reste enfermé. La cage m'empêche d'avoir suffisamment de spasmes musculaires pour me faire jouir. J'arrête de bouger en elle, surprise elle me demande.

  • Qu'est-ce que tu fais. Moi qui pensais que tu serais heureux de venir en moi après avoir attendu si longtemps. Si tu veux, ont peut toujours attendre la semaine prochaine...

Gémissant de frustration, je la pénètre aussi profondément que la cage me le permet.

C'est à peine si je remarque les contactions de son propre orgasme, tout comme le mien qui suit rapidement. Je sens une énorme pression venir à la racine de ma bite. Au moment ou je l'entends jouir, mes propres contractions ont commencés et je sens soudain mon sperme se rependre en elle. Aucune vague de plaisir, pas de contraction juste la sensation que mon sperme coule tout seul et je me déverse simplement en elle. Je m'effondre et sanglote de frustration.

  • Tu n'as pas duré très longtemps cette fois. Je n'aurais peut être pas dû te laissé venir en moi si tu ne sais même pas en profiter. Bon, maintenant, je pense que tu te souviendras comment fonctionne notre arrangement, n'est ce pas?

Je hoche la tête, trop frustré pour répondre. Brisé, je ne lui résiste pas lorsqu'elle pousse ma tête vers son sexe pour que je la nettoie. Encore une fois elle me rappelle.

  • Souviens-toi tu doit toujours être prêts à me satisfaire quand je le veux.

Bientôt, elle s'allonge sur le lit et jouis de mes caresses buccales.

14eme semaine: Presque tous les jours elle me demande un massage et des caresses. Je suis constamment excité sans pouvoir me soulager. Trois mois se sont écoulés depuis mon 'anniversaire' et notre 'arrangement' comme elle me le rappel parfois.

A son travail, son jour de congé change à différents moments de la semaine. Avant il m'arrivait d'attendre entre cinq et neuf jours avant qu'elle me libère afin que nous fassions l'amour normalement. Aujourd'hui, plus d'un mois s'est passé sans qu'elle me libère pour que je lui fasse l'amour. Elle me dit qu'elle préfère.

Pourtant un jour c'est arrivé... Elle m'annonce qu'elle va me libérer. Je me réjouis à l'avance de pouvoir enfin jouir en elle libre et sans cage depuis trop longtemps. Je suis tellement excité que je pense pouvoir être capable de jouir au moins deux fois. Elle me tend la clé et je me dirige immédiatement vers la douche. Elle m'embrasse et me dit de ne pas prendre trop de temps, car elle a une surprise pour moi. La mousse du savon fait du bien a mon sexe libre. Je me sèche et me rase rapidement puis j'arrive dans la chambre.

Ma femme est assise sur le lit. Elle porte un costume noir en cuir et tiens une paire de menottes.

  • Couche toi, j'ai une petite surprise pour toi.

Même si elle m'a déjà menottée quelques fois pendant les rapports sexuels, aujourd'hui elle me fait autant d'effet que la première fois où nous avons fait l'amour. Je monte sur le lit. Elle grimpe sur moi.

  • Tu as été un si bon garçon que je pense que tu mérites une petite gâterie.

Elle me fait rouler sur le ventre et m'attache solidement les poignets. Elle me retourne et viens sur moi. Elle prend ma bite dans sa bouche.

  • Mmm ... elles sont grosses et bien pleines, n'est-ce pas?

Je ne peux pas lui répondre car je suis trop occupé par sa bouche sur mon sexe. Depuis plus de trois mois, je l'ai fait jouir de toutes les façons, et ma seule récompense a été d'être enfermé en cage. Elle me regarde dans les yeux et met ses jambes autour de ma tête pour se mettre en position de soixante-neuf.

Appréciant la douceur de ses cuisses autour de ma tête je sent immédiatement son jus salé sur ma langue. Elle se redresse et positionne ses hanches sur mon visage. Elle m'étouffe presque.

  • Non, ne t'arrête pas, continue.

Amoureusement je remets ma langue sur son sexe gonflé. Ça fait plusieurs jours, qu'elle me tient excité en me demandant des massages ou caresses prolongées presque chaque nuit. De temps en temps sa langue lèche mon gland, et je me bat pour contrôler la montée de mon plaisir Sans surprise, je suis rapidement proche de l'orgasme.. Je me concentre et sans l'utilisation de ses mains je réussi a tenir.

Malgré tout elle m'excite a force de me sucer la queue. Elle aspire mon gland déjà enflé en tirant dessus. Mon sexe ressemble rapidement a une barre d'acier. Heureusement, elle s'arrête a chaque fois a temps. Je me concentre pour lui donner plus de plaisir avec ma langue. Enfin elle joui. Sa tête retombe sur ma jambe et sa main serre mes couilles gonflées. Je m'arrête de lui lécher le sexe et j'embrasse le haut de ses cuisses. Elle reste immobile quelque instant avant de se relever. Elle me félicite.

  • C'est très bon. Ça fait longtemps que nous n'avions pas fait ça.

Elle se redresse et descend ses hanches pour caresser ma bite avec sa chatte. Je suis très excité et fait tout pour me retenir de jouir. Sentant ma détresse, elle me sourit et dit

  • Mon pauvre chérie, tu es au bord, n'est-ce pas?

Les yeux fermés par la concentration, je ne peux que hocher la tête. Elle continue d'onduler ses hanches contre mon sexe.

  • C'est si difficile de te retenir? Peut-être que je ne devrais pas faire ça avec toi? Est-ce que tu veux que j'arrête?

D'un coup mes yeux s'ouvrent et je hurle.

  • Non, non, je veux jouir, vraiment. J'ai juste envi que ça dure un peu plus longtemps. Il y a si longtemps que j'ai envi de te faire l'amour. Je me sens si bien maintenant.

Elle me regarde droit dans les yeux et me demande.

  • Hmm, pourquoi tu ne te sent pas bien d'habitude?

  • Non, Oui. Hmm, c'est trop bon ... Oooooohhhhhhh ...

Je gémis au moment ou son sexe coulisse sur le mien. Elle reprend son discours, lorsque ma bite est au fond d'elle.

  • Et là, est-ce que ce bon?

Elle remonte ses hanches et presse mes couilles.

  • Mmm, est ce que tu a quelque chose pour moi?

Je ne peux que gémir.

  • S'il te plaît, s'il te plaît, non, oui, oh s'il te plaît ...

Je perds le contrôle de moi même. Je peux sentir la pression de sa main sur mes couilles, et le plaisir arriver au fond de mon sexe. J'ouvre rapidement les yeux et je la regarde avec envie. Tout d'un coup, ce qui semble être un torrent de plaisir se propulse profondément dans sa chatte. Quelque instant après je m'effondre.

Je débande, ma bite est maintenant inutile. La pression dans mes couilles est libérée. De nouveau j'ouvre les yeux.

  • C'est incroyable bon, j'en ai la gorge sèche à force de jouir.

Elle me sourit puis me dit.

  • Je ne crois pas t'avoir donné la permission de jouir. Tu n'es qu'un égoïste. Tu aurais pu attendre que nous ayons du plaisir ensemble. Je te rappel que moi aussi j'ai dû attendre plusieurs semaines pour ça, tu sait.

En utilisant ses doigts pour refermer les lèvres de sa chatte gonflée, elle expulse lentement mon sexe devenu complètement flasque. D'elle même, elle vient se positionner sa chatte dégoulinant sur ma bouche.

  • J'ai besoin que tu t'occupes de moi maintenant jusqu'à ce que je te dise que j'en ai assez. D'ailleurs, est ce que tu ne viens pas de me dire que tu as la gorge sèche? Je pense qu'il y a assez de liquide dans ma chatte pour te rassasier.

Je ne sais plus depuis quand, ni pourquoi c'est arrivé, mais elle a décidée qu'a chaque fois que je me viderai en elle je devrais sucer tout le jus qui s'en écoule avec ma langue. Elle prétend que c'est beaucoup mieux que d'utiliser une serviette, et elle n'a même plus à sortir du lit.

Certes, j'aime bien lui donner du plaisir de cette façon mais une fois que j'ai jouis j'ai un peu de mal à devoir la nettoyer avec ma langue. Avec mes mains menottées, il est inutile que j'essaie de lui résister, alors j'ouvre la bouche en laissant le liquide salé couler au fond de ma gorge. Je n'ose pas m'arrêter de la sucer jusqu'à ce qu'elle estime être suffisamment propre.

  • Bon, maintenant c'est a mon tour de prendre du plaisir.

Elle me pousse hors du lit et me dit de m'agenouiller au bord. Ensuite elle place des oreillers sous ses fesses et met ses jambes sur mes épaules en attirant ma tête sur son sexe ruisselant.

  • Mmm, dommage que tes mains sont encore verrouillées, sinon tu aurais pu me caresser en même temps.

Comprenant le message, je relève la tête et lui marmonne.

  • Si tu me libère les poignets, je pourrais peut être te caresser ou utilisez le gode, ou mieux encore, te faire un petit massage.

Ça lui semble être une bonne idée. Elle détache une de mes mains et quelques instants plus tard, elle est rallongée sur le lit et je l'embrasse passionnément. Ma main libre tiens son gode rouge préféré. Je monte sur le lit et me place au dessus d'elle pour que nos deux corps soient en contact. Je la caresse avec le gode en prenant garde de ne pas la faire jouir tout de suite. Quand je la sens prête je retire le gode et me glisse entre ses jambes pour la pénétrer. Elle répond à la pénétration en poussant ses hanches contre les miennes. Elle attrape mes fesses pour que je rentre encore plus profondément. Rapidement elle est au bord de la jouissance. Je pousse mon sexe à l'intérieur d'elle aussi loin que me permet sa longueur. Ses bras se raidissent et je sens sa morsure sur mon épaule. Je continu mon rythme, elle jouis deux fois avant de s'écrouler définitivement sur le lit. Je l'embrasse doucement jusqu'à ce qu'elle reprenne son souffle.

Je lui fait signe lui rouler sur le ventre, et de me présenter ses fesses. Je pousse mon sexe profondément en elle. Sa chatte est chaude et très ouverte, bientôt je la sens avoir un autre orgasme. Je me colle à ses fesses et je la pénètre complètement. Elle me sert la main. Je la laisse jouir une fois de plus, puis j'augmente le rythme. Le frottement de mes couilles contre ses cuisses chaudes et son cul contre mon ventre suffi à me faire jouir aussi. Ce second orgasme est presque aussi intense que le premier et je me libère en poussant un cri. Je m'effondre sur elle.

J'embrasse son dos et son cou puis lui dit.

  • C'est si bon de pouvoir jouir plusieurs fois comme au bon vieux temps, hein?

En réponse, elle attrape la cage qui est posée sur la table de chevet et me la tend.

  • Non, c'est encore mieux qu'au bon vieux temps. Tu ne crois pas?

Je commence a protesté.

  • Je n'ai pas envi de remettre la cage. T'a bien aimée qu'ont ai pu avoir une relation sexuelle normale et moi je suis heureux d'avoir pu jouir deux fois en toi. Est ce que ce n'est pas mieux comme ça pour tous les deux?

  • Je pense que de te faire attendre est ce qui fait que cela te semble plus merveilleux. Il faut que tu te considère chanceux que je t'ai laissé jouir une seconde fois en moi. Tu a oublié que tu est censé être a mon plaisir et non pas l'inverse.

Une fois de plus elle m'aide à enfermer ma bite dans la cage de chasteté. Elle place l'anneau en acier inoxydable autour de mes couilles et ferme la serrure, puis me dit.

  • Ah, j'allais oublier, je sens quelques gouttes le long de ma jambe. Tu peux venir me nettoyer, s'il te plaît?

18ème semaine:

Un soir, d'elle même elle me propose de mettre un peu de crème sur mes parties génitales qui sont exposées au frottement de la cage. Il est vrai qu'un peu de lubrifiant la nuit me permet d'atténuer certaines irritations. J'ai hâte qu'elle s'occupe de moi, je trouve que son geste lorsqu'elle met de la crème autour de l'anneau de ma cage est plus agréable que lorsque je le fais moi même. Rapidement mon excitation monte et je me mets à gémir de plaisir, avec l'espoir qu'elle ne s'arrête pas.

Ma femme verse ensuite un peu de crème sur mes couilles, et les masses d'une main pendant que de l'autre elle frotte ma verge a travers la cage. J'essaie de ne pas lui montrer combien je suis excité par son geste de peur qu'elle ne s'arrête. Mais je ne peux pas m'empêcher de chercher a me frotter encore plus contre ses mains. Les yeux brillants, en sachant très bien quel effet ça fait sur moi, elle serre mes couilles plus fermement. Je suis si proche du plaisir que je lui demande.

  • S'il te plaît, laisse moi te faire l'amour.
  • Je ne sais pas. Tu ne sembles pas en profiter quand je te laisse venir avec cette chose en moi.

Ça réponse me fait un choc, je deviens fou.

  • Ont peut l'enlever, non?
  • Non, je ne pense pas que ce soit une bonne idée.

Elle continue à me serrer les couilles.

  • J'ai peur que tu jouisses trop rapidement. D'ailleurs, je suis sûr que tu n'en profiterais même pas.

Ma bouche est presque trop sèche pour pouvoir lui répondre. Pendant se temps elle continue a me compresser les couilles comme pour en faire sortir tout le sperme qui s'y ai accumulé.

  • Oui, oui, je vais en profiter, je te le promet. S'il te plaît, ne t'arrête pas, c'est tellement bon, oh oh s'il te plaît s'il te plaît ... oh, non non arrête oh oh ... uunhh ...

La dernière chose que je sent, c'est un petit spasme court et mon sperme s'écoule hors de moi. Comme d'habitude, ça ne suffit pas a diminuer mon désir. Ma femme semble fasciner en regardant ma bite fuir tout ce liquide. Pendant tout ce temps elle a gardée sa main dessous de la cage. Enfin, elle lâche ma cage et regarde le petit bassin de sperme dans sa main.

  • C'est tout. Avant tu produisais plus de sperme et surtout tu étais plus endurant...

Je fais un mouvement de tête en me souvenant de l'époque ou lorsqu'elle me donnait du plaisir avec sa main. Parfois j'éjaculais si fort que cela finissais souvent a la hauteur de mon oreiller, ou parfois même sur le mur. Apparemment, elle s'en rappela aussi. Elle secoue la tête.

  • Non, vraiment pas impressionnant.

Elle se penche pour me donner un baiser puis rajoute.

  • Oh, soit dit en passant, je ne me souviens pas t'avoir donner la permission de jouir, alors j'espère que tu réalise ce que cela signifie.

En moi même je me dis 'merde' probablement une semaine de plus jusqu'à ce qu'elle me laisse jouir a nouveau.

Ignorant l'expression douloureuse sur mon visage, elle s'essuie la main et jette la serviette sur moi puis quitte la pièce.

19ème semaine: Ce soir j'arrive avant ma femme à la maison. J'ouvre la boite à lettre. Il y a un petit paquet avec l'adresse d'une société que je reconnais. C'est une maison de vente par correspondance qui propose des produits pour adultes. Je suis curieux mais je ne trouve pas le moyen d'ouvrir le paquet sans laisser de trace. Je le dépose sur la commode de l'entrée.

Plus tard, après que ma femme soit rentrée du travail, je vois que le paquet a disparu. Au court de la soirée, elle ne me dit rien à ce sujet. Une fois que nous sommes dans la chambre, pendant que je lui masse les pieds je la questionne. Elle me répond mystérieusement.

  • Oh, c'est juste un petit quelque chose que je pensais pouvoir être intéressant, nous verrons cela plus tard.

Deux jours plus tard c'est son jour de congé. Rapidement, je lui prépare son café et du pain grillé, puis je saute sous la douche pendant qu'elle mange. Je réalise qu'elle ne m'a pas donnée la clé avant que je prenne ma douche. C'est mauvais signe, sauf si comme parfois elle aime me taquiner en me laissant penser qu'elle a oubliée. Je me glisse dans le lit, ou déjà elle m'attend.

Elle me prend la tête dans ses mains et me dirige vers sa chatte.

  • Viens ici, viens me manger, j'en ai envie.

Je commence à la lécher doucement.

  • Non, plus fort, je veux être bien ouverte et humide.

Je rentre ma langue puis mes doigts en elle. Une fois que je la sens biens ouverte, je remonte vers son clitoris. Elle jouit rapidement, secouant fortement ses hanches.

  • Oh, que c'est bon ce que tu me fais. Tu ne peux pas t'imaginer combien j'apprécie de plus en plus ta langue depuis ces derniers mois.
  • Il semble qu'en ce moment tu apprécies que ma langue.
  • Non, j'aime bien aussi de temps en temps sentir ta bite au fond de moi. C'est juste que c'est un tel souci de te libérer, de te faire sortir de la cage et puis de te verrouiller une nouvelle fois après.

Elle me pousse sur le dos.

  • C'est pourquoi j'ai quelque chose pour toi...

Elle sort de sous son oreiller, un gode réaliste à peine plus grand que ma propre bite et me le tend. Je vois qu'une des extrémités est creuse et que l'autre coté ressemble à un gros gland. Elle me reprend l'objet des mains et m'explique son fonctionnement.

  • C'est une extension de pénis. Viens je vais te la mette.

Je la regarde incrédule et lui fait la réflexion.

  • Je ne vais pas sentir grand chose la dedans. D'ailleurs, si tu aimes tellement ma bite, alors pourquoi avons-nous besoin de cette extension? Même que parfois tu me dis que la longueur de mon sexe te fait mal.

  • Idiot, bien sûr que normalement tu n'en a pas besoin.

Elle se penche près de mon visage et me donne un profond baiser en murmurant.

  • Mais est ce qu'il faut que je te rappel que nous avons fait un arrangement?

Elle s'assoit à califourchon sur mes jambes, roule la partie creuse comme une chaussette, pose l'objet sur ma cage puis le déroule. Il s'intègre parfaitement. Le caoutchouc serré tiens fermement en place. Je peux distinguer le contour de la cage en acier à la base, mais sinon ça fait comme si j'avais une érection. Pendant qu'elle caresse l'objet, elle me dit.

  • Oh là là, on dirait une vraie. Je suis sûr que pour toi ça va être pareille.

Rapidement, elle se place au dessus de mon sexe et abaisse sa chatte sur ce nouveau jouet. Au fur et à mesure de la pénétration, je peux sentir la pression de son vagin, mais pas sa chaleur ni le frottement de ses muscles. Je me plains en reculant un peu mon bassin.

  • Hé, ça fait bizarre.

Ne m'écoutant pas, elle continue à me chevaucher. Elle sert ses hanches contre les miennes emportée par son plaisir.

  • Oh, j'ai l'impression que c'est toi qui est en moi, mais bien plus gros et profond.

Elle continue à bouger ses hanches sur les miennes. Je tends mes mains pour lui caresser les seins et à la taille, puis j'agrippe son cul. Je sais que nous sommes en train de faire l'amour, mais je ne sens rien. C'est pire que lorsque je porte son gode ceinture, pire que tout ce que j'aurais pu imaginer. Le sentiment est absolument affolant, et je commence à bouger mes hanches frénétiquement pour sentir quelque chose, n'importe quoi. Inconsciente de ma frustration, elle murmure,.

  • Oh, oui comme ça. Je peux sentir la bosse de ta cage au fond de moi, c'est merveilleux.

Elle penche sa tête en arrière, frissonne doucement et elle jouit.

  • Oh oui, que c'est bon. Beaucoup mieux que d'avoir un gode à l'intérieur de moi. Le meilleur que j'ai connu depuis plusieurs mois.

Elle se couche à côté de moi et m'attire sur elle. En espérant que ce n'est qu'une distraction temporaire, je pousse soigneusement mon bas ventre contre elle. Elle est si humide que l'extension qu'elle a posée sur ma cage rentre sans effort. Ses jambes s'enroulent immédiatement autour de ma taille. Je reprends mes mouvements avec un sentiment de luxure et de frustration. Peu après, elle mord mon épaule et s'agite contre moi. Nous baisons de cette façon jusqu'à ce que je ne me rende plus compte de combien de fois elle jouis. Enfin, elle semble se détendre. Je l'a pousse sur le côté pour pouvoir la pénétrer par derrière. Elle ferme les yeux et me serre la main quand je plonge en elle en la remplissant profondément. Je ne peux toujours pas ressentir de plaisir, mais juste un léger frottement et une pression sur l'anneau autour de ma cage. J'espère que dans cette position je pourrai faire frotter mes couilles sur sa cuisse et ainsi me stimuler. Mais après quelques minutes il est évident qu'il n'y a aucun moyen pour moi d'avoir du plaisir avec cette extension. Ma femme, cependant, n'a aucun problème. Elle jouit à plusieurs reprises avant de changer de position pour revenir à nouveau sur moi. Je commence à me plaindre de ne pas ressentir de plaisir.

  • Ça suffit, je te rappelle que la semaine dernière tu as jouis sans ma permission, et que pour cela tu dois accepter ma punition.

Elle semble énervée en me disant cela. Elle pose ses mains sur mes épaules et se penche pour m'embrasser. Je suis déçu et tente de lui dire avant qu'elle ne mette un doigt sur mes lèvres.

  • C'est merveilleux, ton sexe me semble si réel, et au moins il n'y a pas de danger que tu jouisses avant que je t'en donne la permission. Tu ne trouves pas que c'est une bonne chose?

Je hoche la tête, ne sachant pas où cela va nous mener.

  • C'est si bon de pouvoir faire l'amour longtemps comme ça, n'est-ce pas?

A nouveau, je lui fais un petit signe comme si j'étaie d'accord.

  • Je suis contente que tu pense comme moi, parce que dernièrement ça me manquais que nous n'ayons pas de rapport sexuel tous les soirs.

Elle me fait son petit discours en se collant à moi. Encore une fois je ne réponds pas et je m'attends au pire.

  • Le vrai problème, c'est que c'est un tel souci de te déverrouiller de temps en temps, et puis tu es tout de suite trop excité. Si tu cherche à te retenir ça casse le rythme, ou pire si tu jouis trop vite ce n'est pas agréable pour moi. D'autant que si je te punis, c'est comme si je me punissais moi-même. Tu n'es pas d'accord?

Elle me serre fermement les couilles et je ne sais pas quoi lui répondre.

  • Euh, oui, euh, non, enfin peut être...

Elle me fait taire en m'embrassant.

  • Maintenant c'est beaucoup mieux. Nous pouvons avoir un rapport sexuel quand nous voulons. Avec cette extension, plus de problème, ont gagne du temps car il n'y a pas de déverrouillage, pas de nettoyage après et le meilleur de tout, tu peux me baiser aussi longtemps que je veux. Tu n'as plus jamais à t'inquiéter de venir trop vite. N'est-ce pas une merveilleuse idée?

Je commence à avoir une boule au ventre, et me demande pour qui c'est une merveilleuse idée. Elle continue de me parler comme pour me convaincre.

  • Et dire que tout cela parce que tu voulais un peu de chasteté pour ton anniversaire il y a quelques mois. Je te remercie, mon chéri, pour cette demande qui me donne tant de plaisir.

Elle se penche à nouveau pour m'embrasser. Décidément, c'est une très mauvaise idée que j'ai eu cinq mois plus tôt. Inquiet je lui demande.

  • Euh, tu veux dire qu'a partir de maintenant nous allons l'utiliser chaque fois que nous aurons un rapport ? Tu ne me libéreras plus, même pas pendant ton jour de congé pour que je puisse jouir?

Elle ne me répond pas. Angoissé, je lui pose de nouveau la question

  • Dit moi, mais dit moi.

Elle me regarde en souriant.

  • Idiot.

Sera sa seule réponse...

FIN

Très bonne histoire.
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